Le Pakistan avance avec assurance dans l’industrie des cryptomonnaies. Le pays a réalisé des pas de géants dans l’intégration de Bitcoin (BTC) et des cryptos à son économie. Une dynamique visionnaire soutenue par son ministre d’État pour la Crypto et la Blockchain, Bilal Bin Saqib. Alors que le Fonds monétaire international (FMI) continue de lui mettre des bâtons dans les roues, le gouvernement pakistanais annonce la création d’une nouvelle autorité de régulation dédiée aux actifs numériques.
Les choses s’accélèrent au Pakistan. Le pays semble bien décidé à adopter le Bitcoin et les cryptomonnaies pour redynamiser son économie, malgré les pressions supranationales exercées par le Fonds Monétaire International (FMI).
Quoi qu’il en soit, le Pakistan poursuit sa stratégie crypto. Et cela passe par la mise en place d’une nouvelle autorité de régulation. Cet organisme a été nommé Pakistan Virtual Assets Regulatory Authority (PVARA, ou Autorité pakistanaise de réglementation des actifs virtuels en français).
Cette nouvelle structure PVARA aura pour mission d’encadrer le secteur des actifs numériques au Pakistan. Avec comme objectifs de délivrer des licences et de superviser les fournisseurs de services sur actifs numériques dans le pays.
La création de cette institution de régulation intervient moins de 4 mois après la formation du Pakistan Crypto Council (PCC), qui vise justement à accélérer la légalisation des monnaies et actifs numériques comme le Bitcoin.
Selon le communiqué officiel du ministère des Finances du Pakistan : « La création de l’Autorité pakistanaise de réglementation des actifs virtuels (PVARA) marque une étape historique vers la mise en place d’un cadre juridique et institutionnel complet pour superviser l’écosystème des actifs numériques, en pleine expansion dans le pays.»
Le Pakistan espère bien s’imposer comme un acteur crypto de premier plan. Et cela en s’intéressant à plusieurs domaines propres au secteur du Web3. Ainsi, le pays souhaite utiliser une importante partie de son surplus énergétique pour miner du Bitcoin. Et cela, même si les financiers du FMI ne sont pas d’accord. Ainsi va l’innovation !